LES PHOTOS DE SAMVEL KARAPETIAN TEMOIGNENT – ELLES D’UN GENOCIDE CULTUREL ?
Le monastère d’Arakelots à Sassoun, l’église Sourp Partoghimeos de Van, le monastère de
Khtskonq à Kars, l’église Arakelots de Mouch … ce ne sont que quelques uns des édifices historiques
et culturels arméniens qui sont en voie d’être détruits en Arménie Occidentale occupée, et la trace
de la présence arménienne est en train d’être définitivement effacée par le gouvernement turc.
Une organisation, étudiant l’architecture arménienne, a pris des photos de la barbarie visant tous les
monuments de style arménien.
L’exposition de photos « Le génocide culturel » et la conférence consacrées à ce sujet, en France,
présente les travaux de Monsieur Samvel Karapétian au cours des dernières années, accompagné
pour les aspects historiques par Madame Mélanya Balayan, et pour les aspects analytiques par
Monsieur Arménag Aprahamian.
Les photos prises récemment et en 2002-2003 sont associées à des photos datant de cent ans, voire
plus, montrant que des églises et des sculptures ont été transformées en mosquées, en étables ou
complètement détruits.
L’exposition et la conférence ont été organisées par l’Organisation Hay Djampa France et le Conseil
National des Arméniens d’Arménie Occidentale.
Peu de personnes savent, ce qui se passe en ce moment en Arménie Occidentale occupée. Ces
actions doivent permettre de sensibiliser nos concitoyens et l’opinion internationale sur l’agression
physique que supporte encore, le peuple arménien, 90 ans après le Génocide.
Il est envisagé de mettre l’exposition et la conférence, à la disposition de plusieurs pays. De plus, les
organisateurs réfléchissent à la réalisation d’une résolution dénonçant ces exactions auprès des
organisations internationales, cette résolution étant l’objet final du cycle de conférence en France.
Une fois encore, en 2005, les droits les plus élémentaires d’une nation plurimillénaire se trouvent
bafoués par un gouvernement, héritier des crimes les plus odieux. Il est donc nécessaire que les
droits démocratiques s’appliquent pour tous, y compris pour les Arméniens d’Arménie Occidentale
descendants des rescapés du Génocide.
Le monastère d’Arakelots à Sassoun, l’église Sourp Partoghimeos de Van, le monastère de
Khtskonq à Kars, l’église Arakelots de Mouch … ce ne sont que quelques uns des édifices historiques
et culturels arméniens qui sont en voie d’être détruits en Arménie Occidentale occupée, et la trace
de la présence arménienne est en train d’être définitivement effacée par le gouvernement turc.
Une organisation, étudiant l’architecture arménienne, a pris des photos de la barbarie visant tous les
monuments de style arménien.
L’exposition de photos « Le génocide culturel » et la conférence consacrées à ce sujet, en France,
présente les travaux de Monsieur Samvel Karapétian au cours des dernières années, accompagné
pour les aspects historiques par Madame Mélanya Balayan, et pour les aspects analytiques par
Monsieur Arménag Aprahamian.
Les photos prises récemment et en 2002-2003 sont associées à des photos datant de cent ans, voire
plus, montrant que des églises et des sculptures ont été transformées en mosquées, en étables ou
complètement détruits.
L’exposition et la conférence ont été organisées par l’Organisation Hay Djampa France et le Conseil
National des Arméniens d’Arménie Occidentale.
Peu de personnes savent, ce qui se passe en ce moment en Arménie Occidentale occupée. Ces
actions doivent permettre de sensibiliser nos concitoyens et l’opinion internationale sur l’agression
physique que supporte encore, le peuple arménien, 90 ans après le Génocide.
Il est envisagé de mettre l’exposition et la conférence, à la disposition de plusieurs pays. De plus, les
organisateurs réfléchissent à la réalisation d’une résolution dénonçant ces exactions auprès des
organisations internationales, cette résolution étant l’objet final du cycle de conférence en France.
Une fois encore, en 2005, les droits les plus élémentaires d’une nation plurimillénaire se trouvent
bafoués par un gouvernement, héritier des crimes les plus odieux. Il est donc nécessaire que les
droits démocratiques s’appliquent pour tous, y compris pour les Arméniens d’Arménie Occidentale
descendants des rescapés du Génocide.